Parcours de l’auteur

Auteur du pamphlet « Madame ou mademoiselle ?  » aux éditions Max Milo.

Également d’un essai intitulé « Mon sexe a-t-il une identité ? », nourri de vingt ans de questionnements sur l’identité, la mienne bien-sûr, comme champs d’étude à disposition, mais sur l’Identité en général et plus particulièrement sur les normes de sexe, de nationalité, d’âge, de statut social, parce que me sentant en profond désaccord avec les stéréotypes s’y afférant. Ce qui m’amène à la philosophie que je nomme l’Indifférenciation que je présente d’ailleurs sur ce site ; parce que si tout particularisme biologique peut engendrer des spécificités de soi, voire même des morceaux d’identités, elle n’est pas l’Identité. « Mon sexe a-t-il une Identité ? » se veut être la démonstration que nous sommes plus que notre biologie et qu’il n’existe qu’un seul genre, le genre humain.

Et de quatre romans policiers, avec son journaliste-enquêteur : Ella Mathis. (pas encore publiés) :

– « Dérives Multiples ». La première enquête d’Ella Mathis, mêlée malgré elle par le criminel, qui utilise sa célébrité pour faire orchestrer ses crimes. Tout commence lors de ses émissions à Evidence Radio, où il intervient en tant qu’auditeur pour tenter de la terrifier. Sa position d’ultra-riche, héritière de l’Empire du luxe Mathis aura des répercussions au-delà d’une enquête habituelle ; révélant des dérives multiples,  notamment des dérives écologiques dans l’univers de la Grande distribution, l’écologie devenant un des outils pour optimiser ses gains financiers, où le meurtre devient une stratégie commerciale comme une autre… (2009-2010)

– « Testostérone de Femme ». Une nouvelle enquête de l’Ella Mathis, qui se déroule dans les rouages de l’Industrie Pharmaceutique qui cherche dans la Cosmétique le nouveau blockbuster, en recyclant d’anciennes compositions médicamenteuses pas assez rentables, déjouant ainsi tous les contrôles. D’autant que l’Empire Mathis commercialise un des produits miracle… Mais si le cosmétique est efficace, il n’est pas pour autant sans danger ; il se révèlera même mortel. Et alors ? Rien ne doit arrêter son exploitation quand les bénéfices deviennent aussi phénoménaux… (2013-2014)

– « Harcèlement social » raconte la rencontre entre deux mondes que tout oppose : l’ultra-richesse et la grande précarité, avec une enquête très impliquante pour Ella Mathis, une infiltration dans les arcanes des aides sociales, qui causera la complète remise en question de son univers ; qui pourrait faire de Ella journaliste une experte sur les comportements pervers, s’ils ne l’engloutissent pas avant. Tenir coûte que coûte, pour Marc cet ex-employé d’Evidence Radio, pour que soit fait justice à sa sœur et que les vrais coupables soient révélés, pour le Groupe – cette organisation puissante et mystérieuse qui l’a recrutée – , et surtout pour elle-même afin de réparer et assumer ses responsabilités, quand l’Empire Mathis dévisse et perd ses valeurs pour le profit à court terme. Mais jusqu’à quel point cela peut-il encore avoir du sens ?… (2015-2016)

– « Cabbale Culinaire ». Ella Mathis rentre à Paris après un séjour de trois ans en Californie,  suite à une rupture sentimentale, se doublant aussi du succès mitigé de ses projets là-bas. Mais beaucoup de choses ont changé en trois ans. D’autres ont réussi. Son ex-assistante Annie François, devenue réalisateur de documentaires autour de la nutrition. Marie Hédiard qui dirige avec efficacité le Label – une agence pour journalistes-auteurs- créée par Ella qui a perdu toute influence dessus. Un climat de rivalités qui se met en place. Jusqu’à ce démarrage en trombe, avec le nouveau film de Annie qui est vilipendé avant même sa sortie en salle ; cette cabbale culinaire, de redistribution des cartes, où se mêlent des hommes politiques,  à coup de fake news via les réseaux sociaux, des rumeurs qui enflent, et s’auto-reproduisent, dans lesquelles Ella Mathis va s’engouffrer, espérant y trouver l’auteur, par là où tout cet insensé a commencé ; croyant ainsi avoir le pouvoir de tout faire cesser. Telle est sa nouvelle enquête. Pourtant sans cadavre ; du moins au début… (2018-2019)

– Et un cinquième en préparation, « Tuer la mère ».

J’ai travaillé dans le Cinéma, cumulant plusieurs casquettes : scénariste, réalisateur, journaliste et interviewer, sans vraiment le quitter tout à fait.

Mon approche, qu’elle soit pour les romans, ou les essais, et même pour les articles, tout en se nourrissant des apports scientifiques actuels, des recherches universitaires, de travaux historiques sur les sujets traités, est avant tout sensible, celle de l’autodidacte dont le leitmotiv est apprendre et transmettre, qui fabrique son propre chemin au fur et à mesure de ses questionnements singuliers, et donc parfaitement abordable au grand public.

Laurence Waki (le 20/09/2018) (le 22/09/2020)